BVO sport est le préparateur majeur des Alpine ayant gagné en course.

Aujourd'hui, nous vous proposons des mises au point à la carte, en fonction de vos exigences.

Différents degrés de préparations sont disponibles, du petit prix pour se faire plaisir jusqu'au plus haut niveau de performances : vous pourrez alors, sans aucun complexe, aligner votre Alpine face aux références contemporaines.

A titre d'exemple, nous pouvons réaliser cette A310 V6 Groupe 5, 3.5 litres (atmosphérique), 24 soupapes.

Mais, quel que soit votre projet, et votre budget, nous avons des propositions : moteur, liaisons au sol, freinage, etc...

Savoureuse anecdote

On le sait, le V6 "PRV" (Peugeot, Renault, Volvo), conçu par le premier nommé à partir d'un V8 tronqué expliquant son angle de "V" de 90° inapte à un cycle régulier d'allumage alors qu'un V6 doit être, au moins en théorie, à 60°, se bâtit, tout au long de sa vie, une triste réputation. C'est d'ailleurs pourquoi, depuis près de quatre décennies, nous nous échinons à lui redonner certaines lettres de noblesse.

Or, vers la fin des années 90, Alfa Romeo s'engagea dans le très huppé championnat allemand des voitures de tourisme (DTM). Au départ, le constructeur italien utilisait évidemment son propre V6 (à 60° donc), à la si sensationnelle renommée. Mais, en course, les choix techniques sont parfois le résultat et la synthèse d'un complexe faisceau d'avantages ou d'inconvénients. Etait-ce parce qu'un angle plus ouvert laisse une plus grande liberté dans la réalisation de l'alimentation ? Etait-ce parce qu'il procure un centre de gravité plus bas ? Etait-ce pour la latitude offerte par ses larges entraxes de cylindres ? Toujours est-il qu'Alfa, dans un second temps, et dans une opaque discrétion, choisit... le V6 français !! Celui-ci était en effet comercialisé, de manière très marginale, dans l'une des Lancia Thema, du même groupe transalpin. Et précisons-le, la réglementation germanique, souvent plus obscure que limpide, relevait d'une généreuse libéralité...

Avec une technologie digne de la Formule 1, le "6 cylindres" PRV, et son fameux angle inapproprié de 90°, tournait... à 11 700 tr/mn !!! Dans une mélodie époustouflante, à vous déchirer le coeur.

Sans doute ne restait-il pas la moindre pièce du moteur de série mais, du coup, les atouts de la base de sa conception, de compacité, de légèreté, de rigidité, sans parler de sa "course courte", étaient réhabilités. Autant de qualités passées totalement inaperçues, même aux yeux des observateurs les plus avertis, tant son rendement fut toujours déplorable. Une bien belle (et pratiquement inconnue) histoire.

Votre satisfaction est notre priorité.

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